| Aenema |
| Il prie pour la fin du monde, car méprise la société. Les paroles sont plus triviales et plus litérales que d'habitude, mais la chanson n'en est pas moins superbe "Certains disent que la fin est proche... Je pourrai ainsi prendre des vacances" : Autrement dit, se reposer une fois que tous ceux qu'il méprise seront morts. Sa haine s'adresse aux gens, mais aussi à la société en général : "Putain de cirque des horreurs" désigne Hollywood. Pour lui LA (Los Angeles) n'est qu'un "trou paumé" qu'il faut "jeter aux chiottes". Le couplet suivant énumère à la suite ce genre de choses courantes, et pourtant très superficielles. Il demande qu'une catastrophe naturelle emporte cette société haïe, que la nature reprenne ses droits. Il ne s'agit pas d'un anarchisme pur et dur, simplement d'une forte envie de changement. Car comme il le dit "Ne me traitez pas de pessimiste, essayez de lire entre les lignes" : Il s'agit davantage de purger LA, et notre société (comme dans Flood, ou le chanteur lui-même chute dans les flots, et leur demande de le nettoyer, de le purger), que de la détruire. Source : Reflecting Moon |